[Déplacée] Fujiwara Takeshi

Le joueur

-Prénom: Tigrou sera suffisant
-Age: 21 ans
-Expérience RP: Plus de 2 ans mais je sors de pause ...
-Connaissances en matière de Bleach: Pas mauvaise
-Personnage(s) préféré(s): Ikkaku-kun, Zaraki-sama
-Comment avez vous connu le forum ? Tour de Jeu

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Le personnage

Nom : Fujiwara
Prénom : Takeshi
Race : Shinigami
Age : 250 ans

Motivations du personnage :

Continuer à vivre sa vie comme si les événements ne l'atteignaient pas. Devenir le plus apprécié des shinigamis de sa division malgré son caractère et ses nombreux défauts. Enfin voilà ce qu'il proclame. Ses véritables buts, rares sont ceux qui les connaissent. On peut toutefois jugé bon de préciser qu'il veut devenir de plus en plus fort au fil des combats, des expériences de sa vie afin de ne jamais perdre à nouveau une personne qui lui est chère (voir histoire humaine) ni ressentir le moindre regret.

Description physique :

L'air nonchalant, le regard blasé, le jeune shinigami possède toutes les distinctions de l'alcoolique chronique. Ce qu'il est par ailleurs. Mais passons. Ses cheveux noirs, mal coiffés, semble presque vivant tant ils sont légers et libre au vent. Ne se rasant qu'une ou deux fois par mois, son visage possède les traces de favoris qu'il arbore presque comme des trophées, l'air de dire «Si t'es pas barbu, t'es pas un homme»... Mince pour sa taille et son poids, il est d'une grande souplesse et se mouve d'étrange façon. Il faut, pour se représenter la scène, imaginer quelqu'un tentant de danser sur un trampoline. Difficile n'est-ce pas? Sauf, visiblement, pour Takeshi qui sautille plus qu'il ne marche. Pour ce qui est de la tenue, elle n'a rien de remarquable, si ce n'est cette bouteille de saké pendant à sa ceinture. Négligé, Takeshi n'est donc pas un modèle de sérieux, mais son caractère fait qu'il se moque totalement des quand dira t'on.

Profil psychologique :

Simpliste. Takeshi n'aime pas les complications. Il y'aura donc, à ses yeux, les bons et les méchants, les forts et les faibles ... Bref, il sépare donc le monde en différentes catégories bien organisée qui ne viennent pas malmener sa vision manichéenne des choses. Et au dessus de tout cela, il y'a lui et ses désirs. Ceux qu'il affiche, comme la puissance ou le respect. Et ses désirs secrets, comme retrouver la personne la plus chère à son cœur, dont son âme reste imprégnée malgré la mort. Disant, ou plutôt criant tout haut ce qu'il pense tout bas, il n'est pas difficile d'apprendre à le connaître. Pour les personnes le supportant, il est un bon vivant au tempérament de feu appréciant le bon saké et une bonne Baston (TM. Une Baston se définie par un combat entre plus de 2 personnes ayant des capacités de même niveau). Mais passons. En tant que bon vivant, il apprécie donc l'alcool mais aussi la compagnie des femmes. Toutes les femmes. Il ne juge pas les gens sur leur physique, mais sur leur attitude.

Zanpakutô ( nom, type, description ) : Il s'agit d'un katana des plus classiques, alliant simplement l'efficacité à l'élégance, en témoigne le kanji désignant une rose sur la lame de son katana. Son nom est Hébitetsu (serpent de fer).
Shikai : Lorsque Takeshi prononce l'invocation «Change Hébitetsu», son Katana change alors de forme pour adopter celle d'un fouet de fer. Ainsi, Takeshi devient capable de changer la structure cristalline de son arme, la rendant tour à tour aussi souple qu'un fouet ou aussi solide qu'une lance à la pointe aussi tranchante qu'un rasoir. Ses attaques deviennent alors plus aléatoires et plus surprenantes. Un autre aspect de cette technique est la production d'un anti-coagulant qui vient enduire la lame ou le fouet.
Bankai : (Non maîtrisé) Libéré par la phrase "Mord Hébitetsu", cette technique fait apparaitre, derrière Takeshi, un serpent d'environ 3 mètres de longs, véritables incarnation de "l'âme" de son Zanpakutô. Ce Serpent possède les mêmes qualités que le sabre de Takeshi qui contrôles aussi bien la "bête" que son arme.

Histoire :

De Vie à Trépas


En l'an 1604 du calendrier chrétien, Takeshi Fujiwara naquit d'une famille de samurai aisée et relativement proche du Shogunat. Son père, élève de l'école Yagyū lui enseigna l'art du Sabre avant de l'envoyer auprès d'un maître Zen. Pourtant, l'enfant turbulent qu'était alors Takeshi ne disparut jamais tout à fait, ne trouvant pas sa voie dans le recueillement Zen ni même dans la méditation. Violent, ses dons aux sabres lui permirent de devenir l'un des membres de la garde.

Son éducation, l'avait soustrait autant que possible aux tendres contacts et on lui avait appris à réprimer les élans affectueux de l'enfance. Tout plaisir oisif était rigoureusement mesuré et le confort lui même proscrit, sauf en cas de maladie. Ainsi, dès le moment où il sut parler, on l'enjoignit de considérer le devoir comme le seul guide de son existence, le contrôle de soi comme la première règle de conduite, la souffrance et la mort comme des accidents sans importance de point de vue individuel.

Cette éducation spartiate n'allait pas sans impératifs beaucoup plus contraignants, destinés à développer une impassibilité totale dont l'enfant ne devait jamais se départir, hormis l'intimité de la maison. L'ironie du sort fut qu'il en vint à apprécier la vue du sang ... sans se montrer cruel ou despotique pour autant. Le jeune samouraï dut apprendre à se prémunir contre toutes les peurs. Dans toutes ces épreuves, le plus parfait stoïcisme était exigé. Toute fanfaronnade n'eût pas été considérée avec plus d'indulgence que le moindre signe de lâcheté. Ce qui ne l'empêcha pas de tester ses professeurs, dépassant régulièrement les bornes de leur patience et se faisant donc châtier sans pitié. De là naquit son indicible désir d'indépendance et de plaisir, réaction puérile d'un jeune homme en pleine croissance.

En grandissant, l'enfant dut se satisfaire, en guise de distractions, de ces exercices physiques qui, très vite et pour le restant de ses jours, préparent le samouraï à la guerre: tir à l'arc, équitation, lutte et escrime. On lui choisit des compagnons parmi les fils des domestiques, plus âgés que lui et sélectionnés pour leur habileté dans l'exercice des arts martiaux. Toutefois, il s'avéra que le jeune homme sut très tôt échapper à certains de ces exercices, jugées pénibles et peu intéressant. Ses repas, bien qu'abondants, n'étaient pas très raffinés, ses tenus légères et rudimentaires, sauf à l'occasion des grandes cérémonies. Lorsqu'il étudiait, en hiver, s'il arrivait qu'il eût si froid aux mains qu'il ne puisse plus servir de son pinceau, on lui ordonnait de plonger dans l'eau glacée pour rétablir la circulation. Si le gel engourdissait les pieds, on l'obligeait à courir dans la neige. Très tôt, il ne considéra plus son petit sabre comme un jouet, devant défendre sa vie face à un manant tentant de le dépouiller. La vue du sang, l'excitation de ce combat qu'il avait remporté le transportèrent de joie, faisant naitre en lui ce désir suprême de profiter à fond d'une vie qu'il savait bien trop courte.

Son éducation religieuse ne fut pour autant pas négliger, faisant naitre en Takeshi le sentiment de sa supériorité, et donc qu'il se devait d'agir en accord avec la morale et l'éthique samurai. Agir en suivant son cœur, et obéir à son supérieur en toute choses. Mais Takeshi avait ses vices. L'alcool, la luxure le transformèrent en homme arrogant, une arrogance qu'il paya de sa vie. Au cours d'une mission de surveillance, un coup de feu effraya sa jeune monture, qui désarçonna l'homme éméché qui tomba sous les sabots du cheval. L'animal, en rut, abattit ses sabots sur le crâne de Takeshi... Qui mourut sous le coup. Nulle souffrance, juste la mort qui vint l'emporter, vers un nouveau monde.

Du Rukongaï au Sereiteï


L'âme errante échoua au Rukongaï, ne sachant pas où elle se trouvait ni quelle était sa place dans ce nouveau monde. Et, comme tous les nouveaux arrivant, il ne savait pas même où passer ses «nuits» ni ses moments de repos et de détente. Il était perdu, seul dans ce nouveau monde. La fin, le désespoir envahirent le mort, qui erra pendant des années sans comprendre quoi que ce soit à sa nouvelle situation. Ce fut, finalement, sa rencontre avec un shinigami qui lui permit de faire la lumière sur son état de «mort» vivant au Rukongaï, sorte de «basse court» de la Soul Society. Cet être semblait doté de pouvoir surnaturels, et il possédait cette arme, ce katana, qui faisait tant envie à Takeshi. Désormais il était sur d'une chose, il ferait tout pour devenir pareil à cet homme. Fort, respecté, mais sans renier sa personnalitée forte et son désir de plaisir suprème.

Les années passèrent encore avant que Takeshi ne réunissent suffisament d'élément pour comprendre le fonctionnement de la Soul Society, le rôle des Shinigamis, et comprendre qu'il lui faudra accepter d'intégrer une sorte d'école pour esperer pouvoir un jour intégrer cette communauté qui semblait presque replié sur elle même tant elle semblait couper d'un peuple qu'elle devait protéger. Non, dont la mission principale était la régulation et la protection.

Il se présenta bien vite à l'académie, décidé à réussir coute que coute, et motivé par son désir de changer de vie. Pas que les personnes qu'il ait rencontré n'aient été que des personnes mauvaise, bien au contraîre, et il s'était même fait quelques véritables amis, mais son éducation l'avait tant ancré dans un sentiment de supériorité qu'il ne pouvait pas supporter de vivre 'comme tout le monde' ... Et encore moins de voir de loin cette élite qui lui rappellait tant son ancienne classe. Accepté, il intégra l'un des groupes et commença une formation longue et éprouvante. Mais il n'avait pas peur de faire ces efforts, sachant qu'il serait finalement récompensé par un poste digne de lui, et de ses ambitions premières. Il ne cachait pas son désir de devenir de plus en plus fort; jusqu'à pouvoir protéger les gens qui lui étaient chers.

Combien d'années passèrent ainsi, entre études, entraînements et repos. Cinq, peut-être, six surement. Il ne saura le dire tant il ne se souciait pas de ce détail insignifiant. Jusqu'au jour où ses efforts furents récompensés, le nouveau Shinigami se faisant décerné un Zanpakuto. Une lâme parfaite, élegante et efficace, orné du kanji désignant une des plus belles fleurs au monde. La Rose. Et les missions commencèrent, la nouvelle vie et mission de Takeshi lui prenant tout son temps. Souvent envoyé dans le monde des Humains, il en profitait bien souvent pour s'eclipser en fin de mission, allant se désaltérer dans les bars les plus miteux, afin de retrouver le plaisir d'un bon verre et d'une jouvancelle peu farouche.

Les années, les décennies passèrent, se ressemblant toutes, à la différence prêt que les femmes rencontrées n'étaient jamais les mêmes. La «vie» poursuivie son cours, jusqu'à ce qu'il sente une voix s'infiltrer dans son esprit... Une voix sifflante, au timbre faisant naitre frissons et peur. Hébitetsu se faisait entendre.

Post RP :

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